luni, 10 iunie 2013

Fin de semestre
Conclusions


Unité 4

Lexique

  • Communiquer en vis-à-vis et par téléphone
  • Comprendre une conférence, un discours public
  • Comprendre et faire des réclamations
  • Comprendre et exprimer des désirs et des souhaits faire des hypothèses
  • Comprendre des argumentations et argumenter
  • Montrer son accord ou désacord
  • Comprendre/écrire des textes narratifs littéraires
  • Stratégies de planification du monologue oral et critères d'évaluation de l'expression orale


Grammaire
  • Expression de la condition
  • Expression de la cause
  • Le conditionel présent/passeé
  • L'expression de l'hypothèse
  • L'expression de la conséquence


Unité 5


Lexique

  • Prendre la parole dans les débats
  • Comprendre et participer à un interview dans le domaine professionnel 
  • Comprendre et raconter des accidents et incidents
  • Intervenir dans une conversation ou un débat 
  • Comprendre et raconter des faits divers
  • Ecrire des lettres amicales d'excuses

Grammaire

  • Expression de la concession
  • Le style indirect
  • Expression du but
  • La voix passive

Unité 6
Lexique

  • Utiliser la langue de la classe comme outil de travail permanent
  • Communiquer dans de échanges très variés
  • Comprendre, raconter des contes, des anecdotes
  • Demander et donner des informations, appréciations, explications
  • Demander et proposer de l'aide, remercier, rassurer ou réconforter
  • Comprendre intégralement une chanson d'auteur
  • Ecrire un texte créatif

Grammaire

  • Participe présent et gvrondif
  • La tournure présentatif 
  • Le gourp du nom
  • Pronoms

duminică, 9 iunie 2013

Unité 6
Les contes


Le mot conte désigne à la fois un récit de faits ou d'aventures imaginaires et le genre littéraire (avant tout oral) qui relate lesdits récits. Le conte, en tant qu'histoire, peut être court ou long. Conçu pour distraire comme po



ur édifier, il porte en lui une force émotionnelle ou philosophique puissante. Depuis la Renaissance, les contes font l'objet de réécritures, donnant naissance au fil des siècles à un genre écrit à part entière. Cependant, il est distinct du roman, de la nouvelle et du récit d'aventures par son rejet de la vraisemblance.
Il y a donc deux pratiques du genre littéraire du conte : orale et écrite. Ces deux pratiques se différenciant par leur mode de création et de diffusion comme par leur contenu, il convient de les distinguer. Le conte est un objet littéraire difficile à définir étant donné son caractère hybride et polymorphe. Le genre littéraire comme les histoires elles-mêmes font l'objet d'études convoquant des savoirs connexes, à la lumière des sciences humaines, tels que l'histoire littéraire, la sémiologie, la sociologie, l'anthropologie ou la psychanalyse.



Les formulettes servent à :
  • introduire le récit. C'est la porte qu'on ouvre. De l'autre côté, il y a l'univers magique. Le silence se fait. Le conteur se met en voix.
  • rythmer le récit. C'est le refrain de l'histoire. Des mots ou des formes simples se répètent d'étape en étape, comme pour marquer un temps de repos et de rêverie avant d'aller plus loin.
  • fermer le récit. C'est la porte qui se referme. Elles soulignent l'aspect fictif du récit, rompent l'illusion réaliste et ramènent l'auditoire à la réalité quotidienne.
Quelques exemples de formulettes d'ici :
* Formulettes de début

  • Il était une fois...
  • Au temps jadis...
  • Une fois il y avait, une fois il y aura...
  • Voici ce qui fut ici, cela sera ou ne sera pas...
  • Plus je vous en dirai, plus je mentirai et je ne suis pas payé pour vous dire la vérité...
* Formulettes de début et de fin :

  • A Pampelune, quatorze vents, au logis de beaux chats blancs.(...) On y a fort bien mangé, j'y étais, je peux vous le raconter.
  • Ce sont des contes de Robert mon oncle.(...) Je passe par un pré, mon conte est achevé.
  • Ce sont des histoires de la forêt noire.(...) Ce sont des histoires de mon oncle Grégoire.
  • Cric, crac, ah quel malheur, ma petite sœur est tombée dans le beurre.(...) La nuit est venue, le coq a chanté et mon conte est terminé
  • Cric, crac, berlurette, mes lunettes, Saint-Glinglin, mes patins.(...) Tout le monde dansa, grands et petits, j'en suis revenu et mon conte est fini, cric, cric.
  • Cric, crac, entendu, convenu, turlututu chapeau pointu.(...) Et le coq à l'aurore chanta, le coq du jour claironna et le conte finit là.
  • Cric, crac, faites silence, faites silence, c'est la queue du chat qui danse.(...) La petite souris fait i i i et voilà, mon conte est fini.
  • Cric, crac, j'ai la clef dans mon sac.(...) Et cric et crac, voilà l'histoire sortie de mon sac.
  • Cric, crac, je vais dans le pré(...) Je suis passée par le pré, tric, trac, mon conte est achevé.
  • Cric, crac, sabot, cuillère à pot, je sais un conte.(...) Ni, ni, mon petit conte est fini.
  • Cric, crac, tu danses, sur la balance, tu t'envoles du pot de colle.(...) Courou, courou, tu passes par le petit trou.
  • Faites silence, faites silence, mon histoire commence.(...) C'est fini pour moi.
  • Faites silence, faites silence, c'est la queue du chat qui danse, quand le chat a dansé, quand le coq il a chanté, le silence est arrivé, mon histoire peut commencer.(...) Je monte sur la queue d'une souris, elle fait tititi, et mon conte est fini.
* Formulettes de fin :
  • Cric, crac, écoutez bien, je l'entends d'ici, la fauvette fait cui-cui et voilà, le conte est fini.Et le conte continue, et continue, et continue jusqu'à se noyer dans la mer.
  • Et le conte pénétra dans la forêt ... Il nous rapportera une récolte, et peut-être deux encore.
  • Kiki carabi, mon histoire est finie pour aujourd'hui.
  • Le conte est fini, je vais le replacer sous l'arbre où je l'ai trouvé et où quelqu'un viendra le reprendre


Ammamellen et Élias

    Ammamellen avait une sœur et, toutes les fois qu'elle mettait au monde un garçon, il le tuait.
Les choses se passèrent ainsi jusqu'à ce qu'un jour, ayant accouché en même temps que sa servante, la sœur d'Ammamellen lui donna son fils et prit avec elle l'enfant de cette dernière.
Ammamellen vint, saisit cet enfant et le tua. Le fils de la femme libre resta chez la servante ; il grandit et devint homme.
Il s'appelait Élias.
Il n'est rien qu'Ammamellen, qui n'était pas dupe de lasupercherie, ne tentât pour attirer Élias dans un piège et le tuer. Mais le garçon était plus rusé que lui et il ne put accomplir ses projets de meurtre.
Un jour, Élias se rendit chez Ammamellen ; il avait très soif et Ammamellen tenait secret le lieu où l'on trouvait de l'eau dans la montagne. Le sol de la montagne était de roche dure et ne conservait pas l'empreinte des pieds.
Ammamellen allait la nuit avec ses serviteurs faire boire les troupeaux et rentrait pendant que tout le monde dormait encore.
Élias prit alors les souliers des serviteurs et les enduisit de graisse.
Le lendemain, il suivit leurs traces. Là où les souliers avaient touché le rocher, ils avaient laissé de la graisse. Le garçon put ainsi arriver jusqu'à l'eau.
Ammamellen l'avait vu et le suivait.



Au moment où Élias, penché au-dessus de l'eau, s'apprêtait à boire, il aperçut l'image d'Ammamellen qui tirait son sabre et allait l'en frapper sur la nuque. Il eut juste le temps de s'élancer et de s'enfuir de l'autre côté.
Un autre jour, Ammamellen marcha jusqu'à une vallée et, avec des pattes d'animaux morts, il y fit des traces de chamelles, de chèvres, de brebis et d'ânes. Il y mit aussi trois vieux chameaux : l'un borgne, l'autre galeux et le troisième ayant la queue coupée.
Il rentra chez lui et, le lendemain, il proposa à Élias, en échange de sa tranquillité : « Va visiter cette vallée au loin, tu nous diras ce qu'il s'y trouve. »
Élias se rendit dans la vallée et, lorsqu'il fut de retour, Ammamellen lui demanda : « Eh bien, as-tu visité cette vallée ?
— Oui, répondit Élias, je l'ai visitée.
— Et que s'y trouve-t-il ? Le pays te plaît-il, oui ou non ?
— Il me plaît, seulement il y a des traces d'animaux morts et trois vieux chameaux dont l'un est borgne, l'autre galeux et le troisième a la queue coupée.
— Comment distingues-tu la trace d'un animal vivant d'un animal mort ?
— La trace d'un animal vivant revient sur elle-même, tandis que celle d'un animal mort ne revient pas.
— À quoi reconnais-tu qu'un vieux chameau est borgne ou qu'il a ses deux yeux ?
— Le chameau borgne mange toujours les arbres du côté de son bon œil.
— Et le chameau galeux ?
— On reconnaît un chameau galeux parce qu'il se gratte à tous les arbres qu'il rencontre.
— Et qu'est-ce qui te fait distinguer un chameau dont la queue est coupée de celui qui a sa queue ?
— Lorsqu'un chameau qui n'a pas de queue vient à fienter, les crottes restent en tas, tandis que celui qui a sa queue s'en sert pour les disperser. »
Quelque temps plus tard, Ammamellenn, qui ne s'avouait pas vaincu, alla dans un certain endroit et ramassa beaucoup d'herbes dont il fit plusieurs tas. Il revint et dit à Élias :
« Demain, tu iras à tel endroit et tu rapporteras l'herbe que j'y ai mise en tas. »
Le lendemain, Ammamellen prit les devants et se blottit dans un tas d'herbe, attendant Élias pour le tuer.
Celui-ci vint et rassembla toute l'herbe, excepté un tas dont il ne voulut pas s'approcher. Ses compagnons l'interrogèrent :
« Tu as rassemblé tous les tas d'herbe, pourquoi laisses-tu celui-là ?
— Celui-là respire, dit Élias ; les autres ne respirent pas. »
En entendant cela, Ammamellen se leva précipitamment, saisit son javelot et le lança contre Élias qu'il manqua.
Il s'écria alors : « Va, je m'incline devant toi, fils de ma sœur, que ma sœur a enfanté et qu'elle a fait enfanter à sa servante. »
Et, depuis ce jour, Élias peut vivre près de sa mère en toute tranquillité.


Unité 5
Les cartes conceptuelles



  
  Les cartes conceptuelles sont des outils facilitant l’organisation et la représentation de la connaissance. Elles
sont composées de concepts, habituellement emboitées dans des cercles et des boites de type divers, et des
relations entre les concepts illustrés par des lignes entre deux concepts. Sur la ligne, les mots ou des phrases
désignent des liens qui spécifient la relation entre les deux concepts. Le concept désigné par une étiquette se
définit comme une régularité perçue dans des événements, des objets, ou des enregistrements d’événements ou d’objets. Pour la plupart des concepts, l’étiquette est un mot, bien que parfois nous utilisions des symboles comme + ou %, ou plusieurs mots. Les propositions sont des affirmations sur un objet ou un événement de l’univers qu’il soit naturel ou construit. Les propositions contiennent deux concepts ou plus reliés par des mots ou des phrases liens qui forment une phrase qui a du sens. Quelques fois, on les appelle unités sémantiques ou unités de sens. La carte 1 présente un exemple d’une carte conceptuelle qui décrit la structure des cartes conceptuelles et illustre les caractéristiques ci-dessus.




        Une autre caractéristique importante des cartes conceptuelles est l’inclusion de liens-croisés. Ce sont des
relations ou des liens entre les concepts de différents segments ou domaines d’une carte conceptuelle. Les lienscroisés nous aident à voir comment un concept dans un domaine de connaissance représenté sur la carte est relié  à un concept dans un autre domaine illustré sur la carte. Dans la création d’une nouvelle connaissance, les lienscroisés représentent souvent des sauts créatifs de la part du producteur de connaissance. Il y a deux éléments importants des cartes conceptuelles pour faciliter la pensée créative : la structure hiérarchique représentée dans une bonne carte et l’habileté à chercher et caractériser de nouveaux liens-croisés.

Ma carte conceptuelle

Unité 4
Le monde de la fracophonie



    La francophonie renvoie à la langue française et désigne le fait de parler français. La francophonie désigne souvent l'ensemble des personnes qui utilisent le français comme langue maternelle, langue d'usage, langue administrative, langue d'enseignement ou langue choisie. Dans un contexte politique, le mot « francophonie » peut aussi renvoyer à une communauté constituée depays francophones mais aussi quelquefois à l'ensemble des pays ou régions membres de l'Organisation internationale de la francophonie. Enfin « Francophonie » peut désigner la Conférence des pays ayant le français en partage, et les diverses institutions qui s'y rattachent, il prend alors une majuscule.




Langue maternelle 
Langue administrative 
Langue de culture 
Minorités francophones 





Le drapeau

Le drapeau de la francophonie représente un cercle, subdivisé en cinq arcs de couleurs différentes. Tout comme le drapeau olympique, il représente les cinq continents. Le choix des couleurs pour chaque continent est identique, mis à part le noir remplacé par le violet.
Le logotype du clavier BÉPO est bâti sur le drapeau de la francophonie ; cette disposition de clavier permet l’écriture de la totalité des lettres et caractères utilisés en français.


Historique


À l'origine, le terme de francophonie a été utilisé de façon purement descriptive par des géographes dès 1880, le mot ayant été « inventé » par Onésime Reclus (1837-1916) : « Nous mettons aussi de côté quatre grand pays, le Sénégal, le Gabon, laCochinchine, le Cambodge dont l’avenir au point de vue « francophone » est encore très douteux sauf peut-être pour le Sénégal ». Le terme « francophonie » a été par la suite supplanté par l’expression « francité » qui désigne les qualités de tout ce qui est reconnu comme français.

C'est après la Seconde Guerre mondiale, à partir d'un numéro spécial de la revue Esprit (1962), qu'une « conscience francophone » s'est développée. Après que le mot « francophone » soit rentré dans le Petit Larousse], « francophonie » y rentre cette année-là, et caractérise la « collectivité constituée par les peuples parlant le français »
Le terme a été particulièrement popularisé par Léopold Sédar Senghor. C'est dès lors dans ce sens qu'il convient de comprendre la francophonie : il s'agit plus de la conscience d'avoir en commun une langue et une culture francophones que de décisions officielles ou de données objectives. C'est une communauté d'intérêt. On y retrouve l’idée que le français serait le point commun d’une multitude de peuples différents, les fédérant dans un idéal culturel et linguistique
.


Culture et création

Diversité culturelle
      Dès 1962, le président Léopold Sédar Senghor soulignait la dimension culturelle de la francophonie dans un article fondateur : « Le français langue de culture ».
      


Développement durable
  
   Dans le cadre de la préparation du Sommet de la Terre de Johannesburg du 26 août au 4 septembre 2002, s'est tenu un colloque international à Dakar sur le thème « francophonie et développement durable : quels enjeux, quelles priorités pour l’horizon 2012 ? ».
La Roumanie est devenue membre observateur de la communauté des Etats et gouvernements ayant en commun la langue française lors du sommet de la francophonie de Versailles, en 1991.
En 1993, lors du sommet suivant, des Iles Maurice, la Roumanie obtenait le statut de membre de plein droit de cette structure.